• Waterloo

    Je ne suis pas historien, juste amateur d'histoire.

    Les chiffres que je donne sont ceux couramment utilisés et admis

     Bref résumer des jours précédents:

    En moins de 3 semaines de simple exilé l'Empereur avait regagner Paris. Revenu au pouvoir, Napoléon se rend compte que le conflit est inévitable. Plus de 700 mille coalisés menace nos frontiéres. Avec son énergie habituelle et son sens inné de l'organisation des taches Napoléon allait surprendre ses ennemis ( Messieurs les Anglais, vous ne tirerez pas les premier).

     18 juin:

     75 mille français(1) vont affronter l'armée Anglo-Néerlandaise sous Wellington et forte de 68 mille hommes(1). En raison des fortes pluie de la veille et de la soirée le terrain est un bourbier qui retarde la mise en place de l'artillerie et des troupes. Il faut attendre 11h 30 pour le début de l'offensive, retard qui allait être lourd de conséquence. Notons que les Anglais s'ouffre de la même qualité du terrain et eux sont déja en place depuis 8 heure. "Il est vrais que regarder des fait passé et les juger est bien plus simple que d'assumé sur le moment de lourde responsabilités". C'est ce qui pousa Drouot à demander a Napoléon de retarder l'ouverture du tir de l'artillerie et donc de la bataille. Le plan de Napoléon consiste à fixé les ailes de l'armée de Wellington pendant qu'il prépare sa grande attaque centrale. Cette derniére doit se dérouler par l'ouverture du feu de la formidable grande batterie d'artillerie réunissant plus de 80 piéces dont un grand nombres de 12, "l'artillerie de la garde". Puis le 1 er corps d'armée de Drouet d'Herlon dois s'élancer à l'assaut du plateau de mont-saint-jean, soutenue par la réserve d'infanterie et la cavalerie. La garde assurant l'ultime réserve.

     

     11h 30 Début de la bataille

     La division du Prince Jérome s'élance à l'assaut. Conformément à ses ordres il s'empare du bois d'Hougoumont "brigade Bouduin"et décide de prendre les batiments, mais sont attaques échoue comme toutes celle qu'il menera aprés avoir engager sa seconde brigade " Soye". Pire le général Reille lui enverra des renforts. Ainsi ceux qui étais une attaque de diversion, va mobilisé la plus grande partie du 2éme corps dans la capture d'un objectif secondaire avec de lourde perte sans ébranlé à aucun moment le dispositif de Wellington.

     13 heure:

    Le canon gronde et une pluie d'artillerie s'abat sur la ligne des positions coalisées. Malheureusement l'efficacité de cette préparation d'artillerie qui avait si souvent fonctionné (comme à wagram), resta peu efficace(2), sauf pour les nerfs des jeune conscrits Belges et Hollandais.

     

     13h 30

     Ney reçois l'ordre de déclencher l'attaque principale. Le corps de Drouet d'Herlon s'ébranle.La division d'Allix en tête face à la ferme de la haye-sainte, Donzelot, Marcognet, Durutte en échelon à droite, soutenue sur leur droite par la cavalerie de jacquinot. D'Herlon à formé ses troupe en bataillons déployés et serrés en masse (formation utilisé à Wagram avec succés). Selon la logique militaire, ( mais c'est l'opinion de beaucoup de stratéges) les troupes auraient du être placées en colonnes d'attaque, pour pouvoir opérer des mouvement rapide surtouts sur terrain accidenté, comme ici. Au lieu de cela les divisions adoptent une formation ou elle présente un front compacte de 160 à 200 hommes sur plus de 24 rangs chacune. Ainsi le front des troupes française sera particuliérement vulnérable au charges plus que probable de la cavalerie Anglaise, (impossibilité de former le carré) mais à chaque instant le feux de l'artillerie et des fusils causeront un maximun de perte.

     Si Napoléon avait vu cela il n'aurait guére apprécié mais depuis quelques instant il vient d'apprendre l'approche de troupe prussienne (le corps d'armée de Bullow troupe fraîche qui n'a pas combattu à Ligny et qui vient directement de Liége).

    Les français montent à l'assaut au cri de " Vive l'Empereur".Les coalisés sous l'élan de l'attaque sont enfoncés, déjà les cuirassiers de la brigade Travers et les tirailleurs de d'Erlon semblent couronner le plateau, suivis à quelques pas du gros de l'infanterie. Si ce corps réussi à se maintenir sur le plateau, la cavalerie lourde de réserve pourra asséner le coup de massue et enfoncer le centre Anglais, l'infanterie se chargeant d'élargir et de maintenir la brèche. Parvenu au niveau du chemin d'Ohain qui marque la ligne de front de l'armée de Wellington les divisions français vont subir une à une( pendant leur marche, leur formation compacte, le terrain et sont état leur empêcheront de progresser à la même allure) le feu meurtrier de l'artillerie (grenaille) et des salves et charges de l'infanterie coalisées, l'une et l'autre protéger derriére la rupture de pente du plateau de mont-saint-jean. L'infanterie française durement ébranlé et qui à toute les peines du monde à ce déployer vacille. C'est la confusion générale, les régiments s'emmêlent .Les officiers hurlent, les hommes tournoient, se bousculent; l'assaut est brisé net. L'ennemi peut réagir. Et il le fait. C'est le moment ou Lord Uxbridge, commandant la réserve de cavalerie anglaise charge. Cette attaque rejette les français dans le désordre le plus complet, et transperce leur ligne atteignant même la grande batterie d'artillerie. Les lanciers français ( Brigade Gobrecht ), brise d'une attaque de flanc la vague Anglaise et deux régiments de cuirassier raméne en arriére les rares survivant Anglais aprés une mêlée sanglante. Mais l'attaque Français se solde par un échec avec de trés lourde perte et il faudra plusieurs instant pour reformé les troupes. A cette instant de la bataille la situation n'a que peut changé au niveau tactique sur le terrain. Par contre le 1er corps suite à son attaque à subis de lourde perte et Napoléon doit de plus se privé de l'aide du 6éme corps de Lobau pour garder son flanc droit.

     

     15H30

     Des que d'Erlon eu rallié ces troupes Ney sur la demande de Napoléon relance son attaque en direction de la Haie-Sainte. Mais les divisons Quiot et Donzelot malgré le formidable appuye de l'artillerie échoue. A ce moment le feu de l'artillerie est bien plus efficace (de par l'état du sol trés certainement) et oblige la ligne Anglaise à s'infléchir. Le maréchal Ney apperçois ce mouvement, mais se trompe sur sa nature et son importance. Il crois à un début de retraite des Anglais, et pour forcé la victoire décide d'une charge de cavalerie. Les mouvement anglais ainsi interprêter sont bien au contraire du à Wellington qui depuis 14h30 à connaissance de l'approche d'un corps prussien prés de l'aile droite française. Des lors ce dernier ne cessera de renforcé le centre droit de son armée au détriment de ces ailes. Ney avec audace décide de l'engagement des 6 régiment de cuirassiers de Milhaud. Mais la charge de tous le corps de Milhaud ne se justifiait pas, l'infanterie Anglaise , n'étant point ébranlée et surtout la configuration du terrain ne permettais pas le déploiement ni la charge d'importante formation de cavalerie.(Tout au plus deux régiment au maximun pouvaient se déployer)ce qui dimminue l'impact de leur action.

     Pire la cavalerie légére de la garde emboite le pas. (L'Empereur avait évoqué une charge de cavalerie, mais il était convenu que celle ci devrait se faire, comme à l'habitude , sur son ordre uniquement. Lefèvre-desnoettes, qui devait être au courant de cette grande charge, a t'il cru que Ney avait reçu l'ordre de Napoléon?). Malgré la violence des charges cette action prématuré sans soutien d'infanterie échoua. L'infanterie coallisée que Wellington à fait mettre en carré, tien bon. L'élan des charges brisé les cavalier doivent se replier sous le feu des fusils et de..... l'artillerie. A mainte reprise les canons anglais auraient pu être endommagé, (lorsqu'un canon ennemi était atteint, soit on l'emmenait, soit on l'enclouait, c'est à dire que l'on plaçait une sorte de clou dans la lumière du canon rendant impossible la mise à feu) mais rien de tel ne fût fait. Ainsi à l'approche des cavaliers français l'artillerie anglaise les arrose de mitraille, puis les canonniers viennent se réfugier dans les carrés de l'infanterie. Des que la cavalerie française fait demi tour pour se regroupé, ils ressortent et rejoignent leur piéce intacte, mitraillant de nouveau les français dans le dos.

     La stupeur de Napoléon dût être totale lorsqu'il vit s'élancer le Maréchal suivi de toutes cette cavalerie. "Voila un mouvement prématuré qui pourra avoir des résultats funestes sur cette journée." et d'ajouter "C'est trop tôt d'une heure, mais il faut soutenir ce qui est fait." Ainsi Napoléon décidais d'engager toute sa cavalerie les corps de Kellerman et de Guyot ( grosse cavalerie de la garde), sois plus de 9 mille sabres. Mais malgré de multiples charges, ( certain régiment chargeront 7 fois) certain carré d'infanterie seront brisé mais le gros de l'infanterie coalisées tien le choc. Pendant ce temps sur le flanc droit français les prussiens débouchaient du bois de paris. Malgré son infériorité numérique de 1 contre 3 Lobau et son 6éme corps résistait et faisait bonne contenance aux prussien( il est vrai que Lobau avait des régiment d'ancienne formation solide comme des rocs, tel le 5éme et le 10éme de ligne). Blucher décide alors de manoeuvré pour déborder la droite du 6éme corps et de prendre Plancenoit en menacant ainsi la ligne de retraite de l'armée française. Pour soutenir Lobau et reprendre plancenoit Napoléon engage la jeune garde sous les ordre de Duhesme. Plancenoit allait être le lieu d'un affontement sanglant entre le corps de Bullow et la jeune garde, ou chaque maison chaque piéce, chaque fourré et taillis sera disputé jusqu'a la fin des combats.

     

     18heure:

     La cinquiéme charge de cavalerie française à été repoussé. Ney qui vient de recevoir l'ordre de s'emparer coûte que coûte de la Haye-Sainte relance son attaque avec les survivant du 1er corps de d'Herlon et les division de Foy et bachelu (quasiment intacte et qui auraient du recevoir l'ordre d'attaqué a 13h30). Sous le feu convergent anglaise les divisions du 2éme corps soutenu par des squelettes d'escadron furent repoussé. Toutefois la Haye-Sainte est enfin prise et Ney y fait établir une batterie d'artillerie à cheval qui ouvre le feu a moin de 300 métres de la ligne anglaise qui chancelle. A ce moment l'issu de la bataille pour les anglais était des plus douteuse. Si Ney dispose des troupes fraîche qu'il vient de guérir à l'empereur la victoire semble acquise. (L'analyse et les propos de témoin coalisées à c'est instant atteste de la fragilité et de la précarité de la situation de l'armée de wellington). "Des troupes, où veut t'il que j'en prenne, veut t'il que j'en fasse !" s'écriera l'Empereur à la demande du Maréchal Ney. Il reste en tout et pour tout six bataillons de Vieille Garde et six bataillons de la "Moyenne Garde"( les autres combattent dans plancenoit) à cette instant en ultime réserve de l'armée française. La pression des prussien est en effet terrible sur le flanc droit. Blucher a rejoint Bullow et le corps de Pirch est opérationnelle désormais. Napoléon à du engager sa garde pour reprendre une nouvelle fois Plancenoit. Sans un coup de feu les invincibles vont culbuté et refoulé les prussiens de plus de 600 métres à l'est du village.

     Il n'est pas encore 19heure que la situation est rétablis, depuis quelques instant Napoléon vient de reçevoir la demande express du Maréchal Ney. C'est probablement à ce moment précis que le sort de la bataille se décide; Bon nombre d'historiens pensent qu'une attaque de la Garde au complet à ce moment précis sur le centre Anglais eût été décisive. Pourtant, entre le moment ou Ney réclame de l'infanterie et l'assaut d'une partie de la Garde, il va se passer environ une demi-heure. Une demi-heure qui va décider du sort futur de "l'empire".

     

     19heure30

     Enfin rassuré sur sont flanc ou la situation est stable, l'Empereur décide d'un ultime assault. La garde s'avance et tous le champs de bataille est parcouru d'acclamation. ( De nombreux temoignages de soldat et non des moindre "Marbot", "Ney" atteste que à cette instant dans toutes l'armée la confiance regagnait les coeurs ).

    Cette ultime attaque de la part de la garde, troupe d'élite intervenait malheureusement trop tard. Wellington à désormais la certitude de l'arrivé d'un nouveaux corps prussien sur son aile gauche ( le corps de Zithen ). Cela lui permis de réorganisé ses troupes, et de renforcé sa ligne de feu. Et puis en cette journée le Maréchal Ney fût trés mal inspirée malheureusement. Au lieu de formé ces troupes en une seule collonne et de la diriger en un point de la ligne anglaise, il la laisse par bataillons. De plus il ne fait pas monter la Garde par la route de Bruxelles, où un repli de terrain l'aurait protégé de l'artillerie Coalisée sur ses flancs. Ney fait monter ces braves en biais, sur des pentes découvertes l'exposant ainsi à l'artillerie et augmentant le chemin à parcourir, donc le temps d'exposition à la mitraille. Deux fois la garde couronnera les hauteur du plateau, deux fois elle sera repoussé. Au moment ou la garde recule, toute la ligne française vacille. Les prussiens qui viennent de s'emparer de la Papelotte et qui mette en fuite la division Durutte, transforme le recul en déroute. La vieille garde de Napoléon formé en carré couvre la retraite de l'armée tant bien que mal. "La garde meurent mais ne se rend pas", " Merde Monsieur", Seront les dernier mots de Cambronne au sein de l'armée impérial,(fait prisonnier). Napoléon parviens de justesse à s'enfuir, "morne journée".

     Ainsi j'achéve la bataille de waterloo en ce 18 juin 1815. Les généraux alliées Wellington et Blucher se rencontre à la belle alliance.

     

    Le désastre de Waterloo fût un enchainement de situations.

    En voici mon énumération:

     

    -Le climat:  La pluie est tombé dans la soirée et la nuit du 17 au 18 juin. De ce fait le terrain détremper bloque les mouvement  des troupes dans leur déplacement et leur mise en place sur le champ de bataille. De plus l'efficacité des tir d'artillerie sur un terrain humide en est grandement affecté.             Au matin du 18 juin celui-çi est un véritable bourbier.

     

    -La fatigue:  Les soldat français sont épuisés, affamés et transi. Depuis plus de 4 jours ils ont beaucoup marchés, parfois pour rien "la contre marche du 1er corps de D'Erlon le 16 juin". La nuit précédent    la bataille sera marquante des aveux de vétérans d'Espagne, absence de bois pour faire du feu, manque de ravitaillement, et abri précaire.

     

    -La reconnaissance du terrain:(3)  A ce jour point fort de Napoléon dans toute ces campagnes sera bien mal réalisé. Malgré les indication du guide Descoster et les reconnaissances du général Haxo de nombreuse informations sur le champs de bataille seront soît partiel, soît inconnu.  Ainsi les barricades  de la route de Bruxelles, les abatis de la route de Nivelles, la Sablonnière, les fermes de la Papelotte de la Haie-Sainte mais surtout Hougoumont et le chemin creux de Ohain avec sa double Haie formaient des obstacles et retranchement redoutable pour les français.

     

    -La mauvaise coordination de l'infanterie, de la cavalerie et de l'artillerie à de nombreux  instant de la bataille. "une doctrine militaire dit que la ou l'on attaque on est jamais assez fort".                          

    Ainsi pour former la grande batterie d'artillerie ont à regrouper les piéces des 1er, 2éme et 6éme corps d'armée devant la Belle-Alliance.  Lors de l'attaque du Bois d'Hougoumont  la Brigade Baudouin "Division Jerome" qui pars à l'assaut découvre des batiments  robuste en pierre de taille et fortifiés.  Alors que l'utilisation de canon de douze auraient permis de faire brêche dans les murs et surtout de rendre indéfendable la position, ont utilisera des obusiers qui interviendront mais bien plus tard, et trop tard.

    Cela nous améne à un autre  aspect négatif qui frappa l'armée française ce jour là. La mauvaise transmissions des ordres, acheminement, interprétation? Le résultat en fût terrible et néfaste.

     

    - L'Armement:(4) Le fantassin français est équipé du fusil modéle 1777. D'une porté trés précise d'un peu plus de 100 métres il n'est pas d'un chargement facile. Un coup à la minutes et le projectile pése 21 grammes.

    L'infanterie britannique à un fusil d'un précision légérement inférieur, mais permet deux tir à la minutes et surtout sont projectile de 32 grammes est plus efficace contre la cavalerie.

    Le fantassin prussien dispose d'une lame au bout du canon ce qui lui permet de déchiré la cartouche plus rapidement et ainsi d'obtenir une cadence de tir de trois coups à la minutes.

    La légion Allemande " qui défend la Haie-Sainte et la sablonniére dispose de carabine d'une portée précise de deux cent métres, redoutable.

     

    - Les Prusiens: L'arrivée de Blucher et de sont armée. Le 4éme corps de Bulow, tous frais. Les 2émes et 1er corps d'armée de Pirch et Ziethen furent plus que tous la cause de la défaite de Waterloo. Des 13h30 elle priva Napoléon du 6éme corps et de la réserve de cavalerie légére, mais aussi et surtout de la Garde,( si vers 18 heure la moyen et vieille garde aurait attaqué). L'engagement de ces forces à cours sur; auraient emporté la victoire face aux Anglais.

     

    Je recommande la lecture du magazine "Napoléon 1er", bimensuelle remarquable  par la qualité de son contenu et surtout l'impartialité des propos.

    Mais aussis le magistral "1815" de Henry Houssaye et tien ajoutons "1814  la campagne de France". Des livres à dévorer.

    "Waterloo, les reliques" Voici un livre écris par Mr Gérard Lachaux et Mr Gilles Bernard.

    Ceux dernier en plus de sa carriére professionnel bien remplie et des impératif de notre société uniquement guidé par sa passion historique  viens de publié cette ouvrage.

    Actuellement je n'est pas encore lu cette ouvrage. Mais Mr Gilles Bernard écrit  pour des revues spécialisées et a déja deux livre a sont actif. Un passionné d'Histoire qui privilégie les témoignages historique pour la recherche du passé.

    De plus notons le concept de cette ouvrage qui relate " La Bataille de Waterloo d'aprés les objets témoins des événements". 

    "Waterloo, les reliques, Gilles Bernard et Gérard Lachaux, 2006, édition Histoire et Collection.

     

                       

    Quelques propos:

    Waterloo eu lieu il y a plus de 190 ans. Pour certain une bataille et de plus une défaite alors vraiment pas de quoi en parler.

    Et bien moi voila ce qui me plaît dans l'histoire. Tant d'époque tant de sujet, tous le monde peut y trouver du plaisir et en ressortir de la connaissance.

     

    On à souvent dit que l'envie et la combativité des troupes français était chancellante. Voila bien un point qui me prête à sourire, ce que la cavalerie prussienne ne put guére se permettre.  Pourquoi la cavalerie prussienne? et bien parceque en ce 1er juillet 1815 elle passa par Rocancourt. Mal lui en pris, derniére victoire des armées Napoléonienne.  Non le moral de la troupe était bon, la restauration des bourbon était présente dans toute les mémoires. Par contre le ravitaillement  et la logistique était perfectible. La qualité des chevaux était disparates.  La merveilleuse organisation militaire de la grande armée faisait défaut les causes essentiel  sont dut aux finances de l'époque et au manque de temps car aprés le retour de Louis XVIII. de nombreux régiment sont licenciés et les productions aux besoins militaire interrompu.   

     

    Hougoumont: Ce site sera le lieu d'un affrontement terrible. De 11h30 à 19h ce qui ne devait être qu'une attaque de diversion va mobilisé plus de 6000 soldat français. Parmis toute les souffrances enduré en ce lieu il en ressort pourtant une anecdote..Hougoumont s'appellait en réalité Goumont. Erreur probablement d'ordre phonétique, lors de l'édition de la carte. D'autre propos rapporte que le jour de la bataille des estafettes auraient recueillis les noms de gomont ou Goumont  "hougoumont".

     

       

                                 

     

     

     

     

                                    

     

     

     

     


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